Carburants : « négociations aux forceps »

Les deux parties ne comptent plus les séances de négociations depuis le début du conflit, et visiblement mercredi soir encore, elles avaient du mal à trouver le point d'accord sur la revalorisation des salaires.

Sauf que sur le terrain, les images des longues files d'attente disparaissent au fur et à mesure.

Les employés des stations avaient pour la plupart repris le chemin du travail devant la prolongation du conflit.

De nombreuses pompes étaient réalimentées parfois sous protection policière, afin d'éviter une quelconque mobilisation des grévistes.

Mercredi soir, une soixantaine de stations étaient ouvertes normalement sur les 85 que compte le département tandis que les livraisons se poursuivaient de manière constante du côté de la SARA.