Les produits auraient été lancés depuis l'extérieur et ensuite monnayés par de l'argent ou des cartes recharges pour téléphones portables.
C'est un véritable petit commerce qui aurait été institué au sein de la prison. Le « boss » serait un saint-lucien selon les dires d' un des prévenus.
Finalement, après avoir contester les propos recueillis par les gendarmes, les intéressés écopent de 6 à 18 mois de prison ferme.