Maître Sarah Aristide est très connu du barreau Guadeloupéen. Cette jeune femme, qui n'hésite pas à médiatiser ses affaires, a depuis son arrivée quelques peu dérangé les vieilles méthodes du barreau. Peut-être a-t-elle en ce sens développer autour d'elle une certaine méfiance.
C'est alors qu'elle s'occupe d'une affaire de proxénétisme, que maître Aristide soupçonne d'être espionnée, dans ces discussions avec son client.
L'avocate appelée par trois de ses clients se rend compte dans le dossier qu'on lui remet que les dits clients sont placés sous écoute.
Mais une lecture approfondie lui révèle le numéro de téléphone de son cabinet !
Selon ses dires elle retrouve même des retranscriptions de son dialogue avec ses clients.
C'est pour cela qu'elle entreprend la démarche de porter plainte contre X.
Huit de ses confrères ont déposés cette plainte auprès du doyen des juges d'instruction, pour violation du secret professionnel, atteinte au principe de la libre défense et à la confidentialité entre un avocat et son client.