Sa voix et sa passion du Bêlé ont marqué la culture traditionnelle locale.
Elle a été pendant de nombreuses années la seule femme à oser prendre le micro pour chanter sa passion, jusqu'à ce que la maladie ne se déclare.
Tombée dès l'âge dans douze ans dans « le bain du bêlé », elle ne l'a plus jamais quitté : « tout en elle respirait bêlé » comme le diront ses proches.
Le monde de la musique traditionnelle a perdu, ce dimanche, un monument du « bêlé ».
Ses obsèques se dérouleront ce lundi après-midi à l'église de Sainte-Marie.