Le représentant de l'Etat a ainsi annoncé qu'il avait demandé aux forces de l'ordre de « faire cesser toute entrave ou tout blocage volontaire à la circulation ».
Une vingtaine d'organisations a en effet appelé à la grève générale, ce mardi 20 janvier. Si aucune consigne de « barrages » n'a été donnée, Nicolas Desforges a tenu à préciser qu'il avait pris certaines mesures préventives.
« C'est de mon devoir. Le droit d'exprimer ses préoccupations est légitime et le droit de manifester est reconnu. Ce droit s'exprimera librement. Je m'en porte garant Mais tout blocage sera enlevé ».
Le préfet de Guadeloupe a souligné que « tout acte délictueux serait constaté ». Nicolas Desforges en appelle ainsi à « la responsabilité de chacun ».
Il se dit prêt également à recevoir les délégations qui le souhaitent : « Les demandes locales seront examinées en Guadeloupe. Celles qui excèdent ma compétence seront transmises à Paris ».