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Guadeloupe | Société
Une école sur-mesure pour une deuxième chance
En Guadeloupe, environ 9000 jeunes n'ont pas le niveau scolaire minimum CAP ou BEP. L'objectif de cette école est de permettre à des jeunes de se remettre sur les rails, de développer des compétences et des savoirs.
[ Jeudi 24 déc. 2009, 00:03 | DOMactu.com | Par Michel Erin ]
L'école de la deuxième chance a été inaugurée à Jarry fin 2007 et vise à élever le niveau des qualifications. Les élèves bénéficient d'une pédagogie et d'un programme de cours individualisés selon une charte de collaboration établie entre le jeune et l'école.
L'an dernier, l'école a intégré 172 guadeloupéens, âgés de 18 à 30 ans. A l'issue des neuf mois de cours, 114 jeune ont été insérés (soit 72 %) grâce à un CDD, un CDI ou ont encore intégré un organisme de formation.
Le jeune qui désire intégrer l'école de la deuxième chance passe par diverses étapes : après un premier entretien, l'élève est considéré comme éligible ou non. Ensuite il intègre provisoirement l'établissement pendant un mois où il sera accompagné et devra montrer sa motivation selon divers critères (assiduité, ponctualité, désir de s'en sortir, implication et rythme d'apprentissage).
L'école travaille en réseau avec différentes structures sociales. Les élèves sont rémunérés car stagiaires de la formation professionnelle. L'école de la deuxième chance, qui était financée uniquement par la collectivité régionale, a signé une convention avec l'État qui financera le prochain recrutement à hauteur de 30%.
L'an dernier, l'école a intégré 172 guadeloupéens, âgés de 18 à 30 ans. A l'issue des neuf mois de cours, 114 jeune ont été insérés (soit 72 %) grâce à un CDD, un CDI ou ont encore intégré un organisme de formation.
Le jeune qui désire intégrer l'école de la deuxième chance passe par diverses étapes : après un premier entretien, l'élève est considéré comme éligible ou non. Ensuite il intègre provisoirement l'établissement pendant un mois où il sera accompagné et devra montrer sa motivation selon divers critères (assiduité, ponctualité, désir de s'en sortir, implication et rythme d'apprentissage).
L'école travaille en réseau avec différentes structures sociales. Les élèves sont rémunérés car stagiaires de la formation professionnelle. L'école de la deuxième chance, qui était financée uniquement par la collectivité régionale, a signé une convention avec l'État qui financera le prochain recrutement à hauteur de 30%.
Michel Erin - DOMactu.com
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