Actualité Antilles et Caraïbes

Nouveau braquage Mercredi en fin d'après-midi dans une station service sur la route du Robert. Plus de peur que de mal et des interrogations au sujet des auteurs du méfait.

Fin de l'opération ville vie vacances en informatique à destination des jeunes en difficulté.

Une enquête a été ouverte au Marin pour tenter de comprendre comment des dizaines de clients se son retrouvés avec leur compte sans provision.

Jacques Chirac a assuré mercredi les Martiniquais que, "un an après, la communauté nationale n'oublie pas" les 152 victimes martiniquaises du crash d'un avion de la West Caribbean au Venezuela (160 morts) et qu'elle "est rassemblée dans le souvenir et dans l'émotion".

Un an après la catastrophe aérienne au Venezuela qui a coûté la vie à 152 hommes, femmes et enfants de Martinique, le président de l'UMP Nicolas Sarkozy a renouvelé son "soutien" aux familles endeuillées et souhaité que l'enquête sur le crash "aboutisse" au plus tôt.

Au son des tambours, 160 cerfs-volants ont dansé mercredi dans le ciel de Fort-de-France, en souvenir des 152 Martiniquais et des 8 Colombiens morts il y a un an au Venezuela dans "la plus grande catastrophe aérienne qui ait frappé la France".

Le 16 août 2005, un avion Mc Donnel Douglas de la compagnie colombienne West Caribbean Airways, transportant 152 passagers, originaires de la Martinique, et huit membres d'équipage colombiens, s'était écrasé au Vénézuéla. Il n'y avait eu aucun survivant. Près d'un an après le drame, Geaurges Venkatapen,le président de l'Association des Victimes du Crash Aérien ( AVCA) témoigne de la douleur encore bien présente au sein des familles Martiniquaises.

Jusqu'au 26 Août prochain au moins, vous ne pourrez voyager sur ces destinations par voie maritime. La seule compagnie qui assure la desserte affiche: complet !

Le Mardi 16 Août 2005, la Martinique se réveille dans l'angoisse à l'annonce d'un accident d'avion près de la ville de Maracaibo au nord du Venezuela avec à son bord 160 personnes dont 8 membres d'équipage.